Paroles de sages...Jean CARME, Jean CAZAUX, Jean Claude LAPARLIERE

Chers Amis bonsoir,

 

Je ne sais pas, si ayant franchi le cap ( ou presque, car Vendays est à la traine), pas de Bonne Espérance, mais des 70 miles, pardon des 70 printemps, nous, Jean Carme, Jean Cazaux et moi-même, les vétérans du Canton de Lesparre-Médoc, pouvons nous considérer comme des sages, mais nous savons rester calmes…dans la tempête !!! C’est déjà un signe.

 

Nous partageons complètement la position de Joëlle et ne voulons pas ajouter de la confusion à la confusion actuelle.

 

Depuis le 20 novembre, nous sommes restés silencieux sur les ondes de la Sous-préfecture, préférant répondre au cas par cas, aux mécontentements qui peuvent se manifester ici où là, en œuvrant pour que les impatients temporisent.

 

Les seuls commentaires que nous acceptons de faire aujourd’hui, consistent en trois points :

 

1)     - Nous regrettons que l’on gâche les très nombreuses munitions à notre disposition….fournies d’ailleurs par l’adversaire PS !!! Dommage et espérons que ce ne soit que partie remise.

2)     - Il est urgent que tout rentre dans l’ordre, si nous voulons éviter des séquelles détestables…et durables…

3)     - Il est urgent de débloquer la situation, ce qui permettra en premier lieu de mettre un terme aux railleries, ensuite d’agir, et d’occuper le terrain !!! Eux (Le gouvernement et les parlementaires) foncent !!! Jour après jour, ils empilent  de nouvelles mesures qui nous mènent droit dans le mur. Nombre d’entre nous piaffent d’impatience.

 

Cela dit, soyons fiers du comportement du Médoc…et de la Cinquième !!! Nous ne dirons pas que nous avons été exemplaires, cela a déjà été écrit par Joëlle, que nous approuvons totalement, mais simplement que nous médocains, généralement qualifiés d’Iroquois, nous avons su d’emblée ou se situait l’intérêt général de notre Mouvement.

 

Excellente soirée à tous. Et comme le dirait si bien Joëlle….Bon vent !!!

 

Jean CARME, Jean CAZAUX,, Jean-Claude LAPARLIERE

 

PS : A très bientôt pour en découdre avec nos ennemis « naturels » et bien « ciblés ».

 

 

 

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